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L'agenda du mahJ

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Raphaël Denis, Fonds Paul Rosenberg : les années parisiennes
Accrochage

Raphaël Denis. Fonds Rosenberg, les années parisiennes

jusqu'au 5 janvier 2025

L’installation au mahJ de Raphaël Denis est une réappropriation mémorielle du fonds du marchand d’art Paul Rosenberg, victime des spoliations nazies. L'artiste-chercheur explore la question des spoliations d’œuvres d’art survenues en France pendant la Seconde Guerre Mondiale depuis presque une dizaine d’années, à travers un ensemble d’installations nommées de Loi normale des erreurs.

Prolongation
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Chana rue d'Assas avec son fils
Accrochage

« L’enfant Didi », itinéraire d’une œuvre spoliée de Chana Orloff, 1921-2023

Du 19 novembre 2023 au 5 janvier 2025

Le 26 janvier 2023, la sculpture de « L’enfant Didi », le fils de Chana Orloff, faisait son retour dans l’atelier de l’artiste, après une absence de près de 80 ans. Volée le 4 mars 1943 – avec l’ensemble du contenu de l’atelier-logement et cent-quarante autres sculptures –, l’œuvre est ensuite passée de main en main jusqu’à sa réapparition à New York en 2008 et sa restitution à la famille en 2022.

Prolongation
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Charlotte Henschel, Georgette Meyer et Sonia Steinsapir
Accrochage

Nouvelles venues : Charlotte Henschel, Georgette Meyer et Sonia Steinsapir

Du 4 avril 2024 au 27 avril 2025

Avec le programme « Nouvelles venues », le mahJ s’attache à étudier et à mettre en valeur la vie et l’œuvre des artistes femmes de la collection.
Ce premier accrochage est consacré à Charlotte Henschel (1892-1985), Georgette Meyer (1916-2020) et Sonia Steinsapir (1912-1980), trois créatrices de la même génération, aux parcours de vie singuliers et aux sensibilités artistiques différentes.

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Vue de l'installation graphique de Jerome Zonder dans la galerie contemporaine
Exposition

Jérôme Zonder. C'est un petit chemin

Du 1er juin au 27 octobre 2024

L’œuvre graphique de Jérôme Zonder est virtuose et multiple, au diapason de son regard nourri tant par le flux infini de la culture populaire. Pour le mahJ, Jérôme Zonder a imaginé une installation qui se déploie au sol et sur les murs de la galerie contemporaine. Il propose au visiteur de déambuler à l’intérieur même de l’œuvre, vaste plateau de jeu à parcourir case après case, avant d’être enfermé dans un cycle sans fin au milieu des images.

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Photo colorisée d'Hanna Rovina dans le rôle de Léa prise lors d'une représentation du Dibbouk à Berlin, 1926
Exposition

Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu

Du 26 septembre 2024 au 26 janvier 2025

Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Le dibbouk fait partie des créatures surnaturelles qui ont dépassé le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui. Le mahJ est le premier musée à explorer le sujet dans une foisonnante exposition mêlant théâtre, cinéma, musique, littérature, et culture populaire.

Nouveau
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Illustration de la façade du musée avec fantômes, chauves-souris, et personnages du Dibbouk, avec enfants et familles
Événement

Journée en famille: voyages fantastiques

dimanche 13 octobre 2024 de 10h à 18h

Embarquez pour un voyage fantastique à la découverte des bourgades d’Europe orientale sur les traces des artistes et des fantômes qu’on y croise parfois…
Surprises et frissons assurés !

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Illustration de Frédérique Galey-Jacob © Frédérique Galey Jacob
Spectacle

Kafka et la poupée voyageuse

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À partir de 5 ans

Une création de la compagnie L’Oreille à Plumes

Avec Cindy Bossant et Olivier Cherki

Ecriture et mise en scène : Sonia Jacob