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Charlotte Henschel, Georgette Meyer et Sonia Steinsapir
Accrochage

Nouvelles venues : Charlotte Henschel, Georgette Meyer et Sonia Steinsapir

Jusqu'au 4 janvier 2026

Avec le programme « Nouvelles venues », le mahJ s’attache à étudier et à mettre en valeur la vie et l’œuvre des artistes femmes de la collection.
Ce premier accrochage est consacré à Charlotte Henschel (1892-1985), Georgette Meyer (1916-2020) et Sonia Steinsapir (1912-1980), trois créatrices de la même génération, aux parcours de vie singuliers et aux sensibilités artistiques différentes.

Prolongation
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Peinture de ton chair, évoquant un tas de cadavres où l'on distingue des membres qui dépassent
Accrochage

Zoran Music : « Nous ne sommes pas les derniers »

Du 28 janvier au 15 juin 2025

Le musée d'art et d'histoire du Judaïsme présente une œuvre de Zoran Music, artiste déporté à Dachau en 1944, où il réalise, au péril de sa vie, de nombreux dessins. Plus de 25 ans après, il crée le cycle Nous ne sommes pas les derniers, où il représente la tragédie des camps de concentration à travers des peintures monochromes, symbolisant l'horreur et le silence du système concentrationnaire. La peinture présentée dans la chambre du duc, parmi les plus belles de cette série, incarne avec une rare puissance l'intensité de la souffrance des survivants.

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Stèle de Justus, Matrona et Dulciorella, marbre gris, fin du viie siècle, Palais-musée des archevêques de Narbonne © Palais-Musée des Archevêques de Narbonne – Lisa Debande
Accrochage

La stèle de Justus, Matrona et Dulciorella

Du 9 avril au 9 octobre 2025

Le Palais-musée des Archevêques de Narbonne conserve l’une des plus anciennes inscriptions juives de France, datée de 688-689, la stèle funéraire de Justus, Matrona et Dulciorella, une fratrie dont on ne connaît pas les causes de la mort. Elle est présentée pendant six mois au début du parcours permanent du mahJ.

Nouveau
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Image de la Nuit des musées avec un ciel étoilé et des oeuvres, dans un style de "collage"
Événement

Nuit européenne des musées 2025

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La nuit tombée, la magie des œuvres opère, le musée s’anime et se découvre autrement. L’occasion rêvée d’arpenter le mahJ entre amis ou en famille pour admirer les collections avec un regard nouveau ! C’est l’opportunité pour les visiteurs de découvrir l’affaire Dreyfus et ses archives de manière théâtralisée et de parcourir les collections permanentes en explorant la passionnante histoire des juifs de France.

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Visite guidée

Histoires de prénoms

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par Raphaëlle Laufer-Krygier, conférencière du mahJ

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La famille Roffé devant la fontaine du Grand café Grégoire, Apt, vers 1914, Elie, Marcel et Blanche sont au premier plan © Fonds Roffé-Despatin, musée d’Apt
Accrochage

Le Studio Roffé à Apt

du 17 mai 2025 au 11 janvier 2026

Le Studio Roffé, ouvert en 1906 à Apt par Élie Roffé et son épouse Blanche Lazare, se spécialise dans les portraits et la couverture d'événements locaux. Après la mort d'Élie en 1938, Blanche et leur fils Marcel continuent l'activité jusqu'à leur arrestation et assassinat à Auschwitz en 1944. Leur travail, récemment redécouvert, témoigne de leur intégration dans la vie locale. L'accrochage présente une soixantaine de leurs images, issues d'un fonds de milliers de plaques négatives des archives municipales d’Apt.

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Carte postale figurant le portrait de profil de Sholem Aleikhem, début XXe siècle
Rencontre dans les salles

Œuvre et postérité soviétique de Sholem Aleikhem

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par Clarisse Brossard, agrégée de russe et enseignante de yiddish à la Maison de la culture yiddish