Dans le cadre de l'Olympiade culturelle, le mahJ consacre une exposition au photographe d'origine hongroise André Steiner, pionnier de la Nouvelle Vision, qui exprima son talent en fixant des corps athlétiques et en mouvement dans le Paris des années 1930.
Le musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente la première rétrospective en France consacrée à Joann Sfar. Avec près de 250 planches et dessins, pour la plupart jamais montrés, mais aussi des carnets, des photographies et des films, l’exposition retrace le parcours d’un artiste exceptionnel dont la créativité se déploie depuis plus de trente ans dans la bande dessinée, le cinéma et la littérature.
Ville cosmopolite, comme d’autres grands ports du Levant, Salonique – la Thessalonique grecque sous l’Empire ottoman – fut longtemps une cite juive où les commerçants, toutes confessions confondues, fermaient le samedi et durant les fêtes juives. Les 150 œuvres de l'exposition du mahJ restituent l’histoire de Salonique de la seconde moitié du XIXe siècle à la fin de la Première Guerre mondiale.
Le mahJ invite l'artiste Yosef Joseph Yaakov Dadoune à investir les espaces du musée avec des œuvres emblématiques de son parcours et de ses questionnements.
Le mahJ présente la première exposition consacrée à Pierre Dac (1893-1975). Plus de 250 documents issus des archives familiales, extraits de films, émissions télévisées et radiophoniques éclairent le parcours personnel et l’œuvre de ce maître de l’absurde, qui présida à la naissance de l’humour contemporain.
L'exposition « Paroles et dessins des enfants de la maison d’Izieu » rassemble près de 150 photographies, documents d'archives et dessins d'enfants réalisés par les pensionnaires de cette colonie qui leur servit de refuge pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le musée d'art et d'histoire du Judaïsme présente « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 ». Cette exposition met en lumière, à travers près de 180 photographies dont des ensembles inédits, sa période la plus féconde. Ses expérimentations artistiques révélèrent son talent pour la photographie de mode qui l'amena à travailler pour les plus grands magazines américains. L'exposition offre également des éclairages sur sa vision de l’art et sur sa vie personnelle pendant l'Occupation.