Lauréat du Prix Maratier 2020 délivré par la fondation Pro mahJ, le plasticien Dove Allouche a été invité à porter un regard créatif sur les collections du mahJ, pour produire une œuvre inédite.
Le Père (1911) de Marc Chagall a été restitué aux descendants de David Cender, qui l'avait acquis en 1928. Inscrite à l’inventaire du Musée national d’art moderne, en dépôt au mahJ depuis son ouverture en 1998, cette huile sur toile était présentée en 2021 dans l’exposition « Chagall, Modigliani, Soutine... Paris pour école, 1905-1940 ». Elle a fait l’objet d’un ultime accrochage dans les salles du mahJ avant sa restitution.
Jusqu’au 2 janvier 2022, le public peut admirer, en salle médiévale, la bague de mariage du trésor dit de Colmar, exceptionnellement prêtée par le musée de Cluny – musée national du Moyen Âge.
Le mahJ présente un accrochage d'œuvres de ses collections offertes par deux grandes collectionneuses, filles des peintres de l'École de Paris, Michel Kikoïne et Léon Weissberg.
Fondée en 1880 à Saint-Pétersbourg pour sortir les juifs de l'Empire russe de leur misère par l'apprentissage de métiers manuels, l'ORT est aujourd'hui à la tête d'un réseau international d'éducation et de formation. Elle fête en 2021 les cent ans de son implantation en France, où elle compte à présent sept établissements formant plus de 5000 élèves et stagiaires.
Les conservateurs du mahJ ont levé une partie du mystère qui enveloppait trois portraits de la famille Hassoun de Constantine au terme d'une vaste enquête. Leurs recherches ont permis de localiser la famille, de découvrir les ancrages identitaires qu'indiquent les vêtements portés, de retracer un itinéraire singulier vers la France.
Au-delà de ces découvertes, cette présentation est l'occasion de comprendre le travail des conservateurs du musée et leur intérêt pour le revers des toiles...