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Exposition « Alfred Dreyfus. Vérité et justice » : les pastilles sonores

Grâce au dispositif « La Classe, l’œuvre ! », des lycéens ont réalisé des pastilles sonores mettant en voix des moments emblématiques de l'affaire Dreyfus qui jalonnent l'exposition « Alfred Dreyfus. Vérité et justice ».

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Dessin en noir et blanc montrant Dreyfus de trois-quarts assis derrière un bureau, un homme devant lui dictant un texte

« La scène de la dictée », The Graphic, 14 septembre 1899

© Paris, mahJ, don des petits-enfants du capitaine Dreyfus

Depuis 2013, les ministères de la Culture et de l’Éducation Nationale mettent en place un dispositif de médiation original intitulé « La Classe, l’œuvre ! » qui propose à des élèves de s’approprier un patrimoine commun pour se faire passeurs de culture. 

Dans ce cadre, les élèves de terminale option théâtre du lycée Gustave Monod d’Enghien-les-Bains ont mis en voix des archives emblématiques de l’affaire Dreyfus sous la forme de pastilles sonores, encadrés par l'équipe du service éducation et médiation du mahJ et par l'association La Chance pour la diversité dans les médias.

Les pastilles sont à retrouver dans le parcours de l’exposition et ci-dessous :

Pastille 1 « Au nom de la loi, je vous arrête... », 1894. Alfred Dreyfus, extrait de Cinq années de ma vie, 1901

Pastille 2 « Il faut que tu vives ». Lettre écrite par Lucie Dreyfus, le 23 décembre 1894

Pastille 3 « Je voudrais calmer mes nerfs », 12 et 13 juillet 1895. Extrait du registre des gardiens de l’Île du Diable

Pastille 4 « Un coup de théâtre », 16 novembre 1897. Mathieu Dreyfus, « L’affaire Dreyfus », dans Le Figaro

Pastille 5 « Votre histoire m’a bouleversé ». Lettre écrite par Emile Gallé, le 8 mai 1901

Pastille 6 « Un dîner en famille », 1898. Extraits de lettres d’anonymes en soutien à la famille Dreyfus, 1898, 1899, 1906

Pastille 7 « Il est net, précis, posé », 8 août 1899. Séverine, « L’Homme », dans le journal La Fronde

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